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L'amer qui tue

par Pascale Lora Schyns

publié dans Bibliographie

 

 

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Une succession de rêves qui bien vite se transforment en cauchemars, et le restent! Sans lumière, sans échappatoire. Le fil de la vie qui serpente dans les profondeurs de l'espoir, du doute, de la foi, du mépris, de l'amour, avant d'échouer dans la mort. Le destin cruel qui parfois ne s'adoucit que pour avoir le plaisir de vous voir tenter de vous relever avant de vous faire plier encore, irrémédiablement. Et toujours cette mer qui vous noie, cette mère qui vous oublie, cet amer qui vous tue.

 

 

L'amer qui tue

Récit poétique

Pleine vie, Paris

2000

 

 

 

 

 

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Lettres à Jean Cocteau

par Pascale Lora Schyns

publié dans Bibliographie

 

 

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Le 9 novembre 1998 meurt Jean Marais. L'auteur, qui a connu le grand acteur, tente d'apaiser son chagrin en le partageant avec Jean Cocteau à qui elle écrit quotidiennement et dans l'oeuvre duquel elle se replonge avec ardeur. Cette correspondance va se poursuivre pendant plus d'une année, dans l'attente de cette date fatidique de l'an 2000. Une démarche à la fois passionnelle et littéraire. Une manière originelle de soliloquer en référence. Et si cette projection n'était pas aussi virtuelle qu'elle en a l'air?

 

 

Lettres à Jean Cocteau

Correspondance

Lux, Avin

2000

 

 

 

 

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Il ne s'agit peut-être pas de lui

par Pascale Lora Schyns

publié dans Bibliographie

 

 

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Il ne s'agit peut-être pas de lui 

Poèmes

Caractères, Paris

1998  

 

 

 

 

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Parution des "Survivants de Sallimoc"

par Pascale Lora Schyns

publié dans Actualité

  

Les Survivants de Sallimoc, le premier roman de Pascale Lora Schyns vient de paraître aux éditions l'Harmattan.

 

 DEFINITIF

Les Survivants de Sallimoc : un roman fantastique ou s'entremêlent gothique, horreur et merveilleux.

 

 

Aux éditions l'Harmattan - mai 2010

 

 

 

Une volonté irrésistible pousse Fanny Poinsettia à débarquer à Sallimoc. Est-ce pour qu'elle comprenne le sens de l'horrible cauchemar qui la poursuit depuis l'enfance? C'est pourtant bien à une sorte de quête à laquelle s'attelle la jeune femme en posant le pied dans ce village d'Ubracenitaq qui recèle bon nombre de mystères. Les paysages, les pierres, les sculptures prennent des allures inquiétantes. Les habitants sont étranges. Les femmes subissent des affres inexplicables. Madame Rachel raconte une histoire de fantôme extrêmement troublante. L'esprit de la vieille dame est-il influencé par la vérité ou contribue-t-il à alimenter une légende séculaire? Fanny s'obstine à vouloir se rendre dans la grotte des collines perdues afin d'y découvrir des peintures rupestres. N'est-elle pas attirée en « terre d'ombre » par une force inconnue? Une chose est sûre : un grand danger la menace...

 

 

 

 

 

 

 

 

 Prix éditeur : 28,5 €  

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Comme si c'était hier

par Pascale Lora Schyns

publié dans Revue de presse

numérisation0007Joseph Bodson (Reflets, Novembre-décembre 2009)

" Ce livre a une histoire. C'est en Espagne que Pascale Lora Schyns a fait la connaissance du petit-fils de l'auteur, Vicente Sanchez-Cano, lequel avait publié les poèmes de son grand-père, retenu cinq ans en prison par le régime franquiste à la fin de la guerre civile. Touchée par la beauté de ces textes, Pascale Lora Schyns obtint l'autorisation de les traduire en français, et n'eut de cesse de réaliser la publication de cette traduction. Voilà qui est fait aujourd'hui, en édition bilingue.

 

À leur lecture, on ne peut qu'acquiescer à l'enthousiasme de Pascale Lora Schyns : ces textes, dans leur discrétion, leur retenue, leur « pauvreté », entraînent très vite à l'adhésion du lecteur. Nous sommes bien loin ici  d'une certaine complaisance, de l'attendrissement sur soi, du « regardez-comme-je-souffre » auquel nous ont habitués certains romantiques attardés. Non, bien au contraire, on dirait que chez Fidolo Cano le séjour en prison, sans qu'il n'ait rien renié de ses idées, entraîne une sorte d'épuration, de réduction à l'essentiel. Une attention plus grande prêtée au moindre objet, au moindre bruit, à la moindre modification de la lumière :... de aquel intimo yoque habia olvidado, dans cette intimité retrouvée, p.24.

 

La mort elle-même envisagée, dévisagée, avec une certaine légèreté, une moquerie presque imperceptible :

 

¡Oh desgraciado !...A la noche oscura

 

le entregaste tu vida y tu locura

 

sin trastornos causar

 

¡descansa en paz y que la tierra sea

 

la madrea amante que te bese y vea

 

Y te pueda llorar!...

 

(Oh! Malheureux.../entre les mains de la nuit obscure/tu remis ta vie et ta folie/sans déranger personne;/repose en paix et que la mort soit/la mère aimante qui t'embrasse et te regarde/et qu'elle puisse te pleurer!...) (p.24)

 

On notera au passage comme la traductrice rend bien la nervosité, la concision du texte espagnol.

 

Certains de ses poèmes baignent dans une atmosphère froide, pure, un peu désincarnée. C'est comme une eau glacée, qui vous râpe la gorge :

 

La tarde de febrero sosegada/de brumas y de nieblas despejada/ante el cadáver la rodilla hincó//Y en los pliegues augustos de su manto/hecho de luz, de risas y de encanto/con ternura de madre lo envolvió ... (le soir de février/que n'encombraient ni brumes ni brouillard/s'agenouilla devant le corps.//Et dans les augustes plis de son manteau,/fait de lumière, de rires et d'enchantement,/l'enveloppa avec la tendresse d'une mère.)

 

C'est un beau devoir de piété poétique que Pascale Lora schyns a ainsi rempli, alors que la plupart d'entre nous ne songent guère qu'à mettre en lumière leur propre production. C'est, tout simplement et sans grandes phrases, l'honneur des poètes."

 

 

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Orange fruits grow on rose trees

par Pascale Lora Schyns

publié dans Revue de presse

numérisation0005Emile Kesteman (Nos lettres, novembre 2007):

L'auteure, qui est germaniste sortant de l'Université de Liège et interprète pour un organisme international, s'est avec bonheur aventurée dans le monde de la poésie anglo-saxonne.

 

Renée Laurentine (Reflets, Mars-Avril 2008)

L'auteure de ce petit recueil en langue anglaise est d'origine belge et publie aussi, et principalement, des textes en français (entre autres, Les subterfuges du vent, chez le même éditeur). Etant moi-même traductrice, je découvre avec ces Orange fruits... la justesse de ce vieil adage selon lequel tout traducteur est un traître (Traduttore/Traditore) ! pour convertir ces superbes poèmes en français, il faudrait en réalité les transformer... ils deviendraient « autres » ! En effet, si l'on peut traduire les mots, on ne pourra pas rendre exactement les finesses du vocabulaire, la cadence des vers dans leur forme originale. L'anglais est généralement plus « bref » que le français. Dès lors, une « adaptation » risquerait d'éliminer bien des échos subtils, des alliances de mots, des constructions parfois parties intégrantes de la « poétique » du recueil, de son rythme très spécial. « Les oranges poussent sur les rosiers », pourrait-on proposer pour une version française, mais l'on y perdrait la « musique » de ce beau titre anglais où  se révèlent les affinités secrètes, les liens profonds, mais parfois invisibles, entre êtres et choses.

 

Ces textes nous présentent des états d'esprit, des impressions, des sentiments, voire des révélations. L'auteure pénètre au coeur des êtres, des paysages, des émotions, dont elle découvre la vérité intime, parfois cachée. Ses images, toujours hors du commun, frappent juste. Ce sont des points de rencontre entre de supposés contrastes, sous des apparences plutôt familières. Dans ce monde poétique, les oranges poussent sur les rosiers, les sourires passent en fraude à travers les barricades, un coeur se fane et une rose se met à battre... Parallélismes ou divergences, bien des évocations se répondent, mais le plus souvent ces images seraient intraduisibles telles quelles.

 

Pascale Lora Schyns est très sensible aux « sonorités » des poèmes, dans des vers qui, cependant, n'ont rien de classique. Page 29, on note les « échos » de mots commençant par un « w »,  ou de mots se terminant par « ing » (signe anglais de participe présent). C'est ici, parmi d'autres, un exemple de « rimes » ou du moins de ce qui, en français, correspondrait aux rimes de jadis. Ici, ce n'est pas nécessairement en fin de vers que l'on découvre des échos. D'autre part, existent aussi des « correspondances », sortes de     « rimes » idéologiques entre choses et sentiments, plutôt que rimes sonores.

 

Le sujet de chaque poème est généralement simple, mais c'est l'ambiance créée par l'auteure, le                « renouvellement » d'un thème connu, et par-dessus tout, la forme de l'expression, qui font de ce recueil un petit chef-d'oeuvre moderne. Remarquable aussi, la relative simplicité des sujets traités, voire métamorphosés - par de subtiles techniques.

 

Je terminerai mon commentaire en me risquant à traduire le dernier texte du recueil qui, malgré sa relative amertume et un brin d'impertinence, frappe comme un « clin d'oeil » de l'auteure à son lecteur:

 

 

Six jours

 

puis le septième

 

celui qui rend la vie

 

digne d'être vécue

 

Six jours

 

et un  septième

 

pour ressusciter d'entre les morts

 

pour atteindre la fin

 

Merci.

 

 

 

 

 

 

 

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Les Subterfuges du Vent

par Pascale Lora Schyns

publié dans Revue de presse

numérisation0004-copie-1Emile Kesteman (Nos lettres du 11 novembre 2007): 

" Le lexique a évolué. Il est plus recherché, plus intellectualisé. Il y a dans ce recueil, par rapport aux précédents, plus de gravité et peut-être un élément tragique plus accentué. Depuis que Pascale Lora Schyns s'est installée dans le Midi, il y a comme un mûrissement plus poussé. Elle joue davantage sur les notes qui nous font sursauter. Elle exige du lecteur un cheminement plus lent, plus réflexif qu'autrefois. Elle nimbe la calomnie et étrangle la tempête des heures belles, le mistral a soufflé."

 

Joseph Bodson (Reflets de novembre 2007):

"Des poèmes tourmentés, avec des tournures, des phrases elles-mêmes tordues en tous sens, où s'entremêlent les relatives, les déterminatifs en cascade, un peu comme sur le dessin de la couverture (du au talent de Daisy Billo). Il ya , ici, quelque chose d'un peu baroque dans le style, dans cette violence qui tord les phrases, comme la force du vent tord les branches des arbres et les enchevêtre. Ey j'ai songé, à plus d'une reprise, au Cri, cette effrayante peinture de Munch. Comme si l'auteur avait ramassé, sérré dans sa poigne tous nos malheurs, tous nos désespoirs, aussi bien ceux dont nous sommes nous-mêmes coupables que ceux dont nous sommes, avec beaucoup d'autres, les victimes."

 

 

 

 

 

 

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L'oubli retrouvé

par Pascale Lora Schyns

publié dans Revue de presse

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Emile Kesteman (Nos lettres, 2004):

"Pascale Lora Schyns n'en est pas à  ses débuts, mais Bernard Charlot des éditions Eole a eu du flair; du fond des Ardennes, il a saisi une libellule en pleine métamorphose. Ne croyez pas que je sous-estime les premiers stades de l'insecte. Il faut cependant admettre que ce recueil s'apparente continuellement au rêve et qu'il témoigne d'une expérience nouvelle qui a traversé notre poétesse liégeoise. Pascale Lora Schyns nous parle de l'oubli retrouvé. Sans cesse le lecteur pense à Marcel Proust et à sa recherche du temps perdu. Lui aussi nous a évoqué le temps retrouvé. Et le monde de Pascale Lora Schyns est aussi coloré que celui de son illustre prédécesseur, sans cette maladive insistance qui concerne les moindres perceptions et impressions! Le mal de vivre a traversé la poétesse et elle tend vers un "Demain" où le rituel innove et où l'on pourra déterrer les trésors du passé."

 

Pierre Schroven (Remue-méninges, juin 2004):

"Une des caractéristiques de Pascale Lora Schyns c'est qu'elle ne triche jamais et s'investit corps et âme dans chacun de ses mots. Dans ce recueil intitulé L'oubli retrouvé, l'heure est au désenchantement, aux souvenirs douloureux, à la difficulté d'être, d'aimer et ... d'être aimé, aux illusions perdues, à la nostalgie de la pureté de l'enfance, à la fragilité du bonheur. Et puis, derrière cette impression de chaos, le miracle de l'amour fendant le quotidien sordide. Recueil poignant, déchirant même où se profile néanmoins la promesse d'un nouveau bonheur... d'aimer."

 

 

 

 

 

                                                             

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Para no dormir

par Pascale Lora Schyns

publié dans Revue de presse

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Emile Kesteman (Nos lettres, juin-juillet 2002):

"Se maintenir en éveil. Connaître un grand amour qui comble les vallées et fait surgir des montagnes. D'où un besoin de fusion. Et le dire avec naturel et simplicité. Vivre son expérience avec tout son corps. Ne pas oublier que quand on aime vraiment on s'en prend à l'intégrité de l'autre. Ne pas rougir de le dire et même s'exalter à ce propos. Voilà tout ce qu'on trouve dans Para no dormir de Pascale Lora Schyns, un poète qui voyage aux quatre coin de l'univers pour exercer son métier."

 

Pierre Schroven ( Remue-méninges n°28, été 2003):

"Ce recueil est en fait un long chant d'amour ininterrompu où l'auteur même doutes, sensualité, peurs. Entre ses craintes de l'abandon et son bonheur intense, elle questionne, supplie, implore et nous livre sans retenue aucune ce qu'elle a sur le coeur; à savoir, la force et la pureté d'un sentiment qui la brûle et donne un sens à sa vie. C'est un beau cri du coeur qui pousse là Pascale Lora schyns, qui nous surprend ici avec un recueil que l'on pourrait aisément comparer à une sorte de journal intime ("À l'heure où tu fermes les yeux/mes paupières s'ouvrent en sursaut/Comme si toujours l'un de nous devait rester en éveil.")

 

 

 

 

 

 

 

                                                                

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Il ne s'agit peut-être pas de lui

par Pascale Lora Schyns

publié dans Revue de presse

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 Carl Norac (Audax, juin 1994):

"Pascale Lora Schyns renoue avec une poésie qui prend corps sous un fil narratif, explore les sentiments portés par chaque geste, avec pudeur, simplicité."

 

 Paul Van Melle (Inédit Nouveau):

"Il ne s'agit peut-être pas de lui, c'est tout le parcours des élans, des déceptions, puis de la solitude".

 

Cécile Vrayenne (La Meuse, 6 octobre 1998):

"Avec ce premier recueil, Pascale Lora Schyns nous offre la part cachée d'elle-même. Tous ces instants de vie et ces rencontres fugitives qui donnent envie d'écrire, quand les mots guérissent de l'émotion ou permettent d'exprimer des passions se retrouvent dans Il ne s'agit peut-être pas de lui. Avec plus d'une trentaine de textes articulés autour de cinq thèmes, l'auteur nous renvoie à chacun de nous, au travers d'interrogations sur l'amour et le bonheur qui nous échappent le plus souvent. Un style teinté de mélancolie, où la mort n'est pas en reste et l'espoir, une ultime conquête."

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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